Clinique Chirurgicale Porte Océane

Le SROS 2, Schéma Régional d’Organisation Sanitaire (1999 – 2004), a souhaité le rapprochement des établissements de soins public et privé du Pays des Olonnes.

La communauté d’objectifs des deux structures, (la Clinique du Val d’Olonne et le Centre Hospitalier Côte de Lumière) s’est rapidement imposée ; les directions ont saisi l’opportunité du Plan Hôpital 2007 pour s’unir et offrir aux patients du Pays des Olonnes un établissement de soins fondé sur le
collectif, le partage et l’efficience par la mutualisation des moyens.

Ainsi est née le 4 janvier 2010 la Clinique Chirurgicale Porte Océane sur le site de la Vannerie.

S’y exercent de façon exclusive les spécialités chirurgicales suivantes : les chirurgies orthopédique, viscérale, urologique, vasculaire, ophtalmologique,
ORL, bucco-dentaires, esthétique plastique et réparatrice. Elles sont pratiquées soit en hospitalisation classique (53 lits) ou en acte ambulatoire (36 places).

C’est en position stratégique, à l’entrée de l’agglomération des Olonnes, au carrefour des axes routiers du littoral vendéen que Porte Océane va désormais
accueillir les patients du Pays des Olonnes pérennisant ainsi la mission de la Clinique Notre Dame de France aux Sables d’Olonne (des années 30 à 1984) et de la Clinique du Val d’Olonne au Château d’Olonne (de 1984 à 2009).

Cet ouvrage collectif résulte de l’engagement des professionnels de santé et de la créativité des architectes hospitaliers. Au-delà des équipements biomédicaux sécurisant, la réflexion des acteurs a porté sur les matières, les couleurs, les lumières pour créer une douce atmosphère, propice à rassurer le patient dès le seuil franchi.

Ainsi, derrière l’esthétique architecturale de ce bel ouvrage s’offrent des conceptions et des choix répondant aux exigences de la médecine moderne et aux attentes du patient.

Fin 2011, l’Hôpital Côte de Lumière a rejoint la Clinique Chirurgicale Porte Océane et ensemble ils constituent le Pôle Santé « Les Olonnes » véritable « quartier hospitalier » de l’agglomération, signal fort répondant aux directives du plan national de santé.